Depuis l’apparition de la pandémie, la France s’est pleinement investie auprès des entrepreneurs. C’est d’ailleurs le premier pays européen à proposer un plan d’urgence de 4 milliards d’euros pour les start-up. Cependant, l’impact continu de la crise sanitaire et économique est d’une grande importance pour les start-up françaises. Dans ce cas, il est important de découvrir l’écosystème des start-ups en France.
Vous aurez alors des idées pour faire grandir des startups comme celles-ci.
L’écosystème actuel des start-up en France
En matière de levée de fonds, les entreprises françaises sont devenues le premier écosystème de l’UE, levant 7% des fonds entre 2019 et 2020. Malgré un environnement sanitaire et économique très difficile en 2020, les quelque 10000 start-ups françaises ont mené 620 activités de levée de fonds pour un montant total de 5,4 milliards d’euros. Ce montant illustre la maturité et l’attractivité de l’écosystème des start-ups françaises.
Le financement à hauteur de 50 millions d’euros est plus porteur d’espoir pour la capacité de La French Tech à poursuivre son ascension en Europe. En effet, elle a progressé de 89% à un rythme sans précédent.
De tels chiffres illustrent la vitalité des start-ups en France. Depuis 2017, une série de mesures destinées aux entrepreneurs est mise en place. Il existe des initiatives, en l’occurrence :
- La mise en place de visas de qualification française pour simplifier le recrutement de talents étrangers,
- la mobilisation de 6 milliards d’euros de fonds privés à travers le programme Tibi,
- La réforme BSPCE,
- La création du plan de support French Tech Next40 / 120.
En conséquence, l’écosystème de start-up pour tous les niveaux de compétences et toutes les régions est propice à l’emploi aujourd’hui et demain.
Les start up sont aidées par les business angels, qui leur procurent les capitaux nécessaires à leur développement.
L’impact de la crise sanitaire
Face à la crise sanitaire actuelle, les start-ups françaises doivent observer de nombreux changements drastiques dans leurs activités, leur organisation et leur trésorerie. Les activités de levée de fonds ont été reportées à plus tard. Avec l’encouragement des institutions publiques, l’entreprise dispose désormais de quelques mois de trésorerie et peut recourir à des travaux à court terme.
Certaines start-ups ont pour la plupart ajusté leurs produits et services pour mieux répondre à la situation actuelle. Les plus touchées par ce changement sont les start-ups de plus de 21 salariés et les start-ups avec un modèle de revenus B2B. Naturellement, les entreprises plus matures qui ont atteint un stade de financement plus élevé ont plus de liquidités que les autres et sont moins sensibles à l’impact financier à court terme.
Le confinement a un impact majeur sur les entrepreneurs et leurs activités. Dans certains sondages d’opinion, force est de constater que de nombreux points de vue sont liés au ressenti et aux perspectives d’activités pendant la crise. Plus importants encore, tous ces éléments indiquent des préoccupations concernant la période post-endiguement. Néanmoins, la tendance générale tend à s’améliorer.
Un bel horizon pour les start-ups en France
Heureusement, à la lecture de l’écosystème start-up, le sentiment général est l’optimisme global des chefs d’entreprise. La confiance des entrepreneurs dans le caractère temporaire de la crise peut expliquer cet optimisme. Certains entrepreneurs ont même profité de cette situation.
L’état général de l’écosystème des start-ups en France s’améliorera. De fait, les entrepreneurs sont confiants quant à la pérennité de l’entreprise et de ses unités d’affaires dans les mois à venir. Ils sont également confiants dans leur capacité à rechercher rapidement des fonds publics et privés.